26 juin 2007

Déception...

Si j'avais écrit ce billet ce matin, j'aurais eu les yeux pleins d'eau, comme quand j'ai appelé ma mère pour vider mon sac et discuté avec elle des options qui s'offraient à moi. Là ça va, mais la déception est encore bien tangible.

Ayant eu des renseignements à demander aux responsables des suppléances, j'avais su qu'il y aurait plusieurs postes offerts, autant à temps plein menant à la permanence que des tâches 110% en remplacement pour l'année.

Yeah right.

Je m'attendais à tellement plus, et il n'y avait tellement rien ou presque!

Enfin, rien ou presque qui ne soit pas accessible qu'à la condition de faire quatre transferts de métro/autobus ou la ligne de métro d'un bout à l'autre; rien ou presque qui soit à côté de chez moi sans nécessiter une qualification que je n'ai pas pour enseigner comme spécialiste à un autre niveau en plus de ma tâche; rien ou presque qui n'ait pas un piège dans le temps-semaine ou dans la durée du contrat; rien ou presque qui ne soit pas un poste d'équipe de remplacement; et finalement rien ou presque qui ne se retrouve pas dans le fin fond d'une école à servir de local au service de garde matin-midi-soir dans la zone réservée justement au service de garde (avec peu de matériel au surplus) ou à croupir dans un sous-sol sans fenêtre.

Un rien ou presque qui est vite disparu aux mains des autres.

Alors Madame Dobby a vite mis la main, tant qu'à faire, sur le contrat qu'elle avait cette année qui était renouvelé à l'identique.

Sauf que je suis déçue. Archidéçue. Pas à cause du contrat, comprenez-moi bien; j'adore ce deux jours avec ma collègue, et je vous l'ai dit, ça me faisait quelque chose de quitter ça. Je voulais plus, mieux, autrement, meilleur, quelque chose qui correspondait à ce à quoi j'étais rendue. Pffff, parti en fumée le rêve! Pourtant, ça devrait pas être si compliqué, il y en avait AVANT des postes intéressants le oindrement ou suffisamment intrigants pour que je m'y jette sans filets!

Par chance, en retournant à l'école, mes collègues toutes joyeuses m'ont un peu remonté le moral. Elles étaient super contentes de me ravoir, bien qu'elles étaient déçues pour moi et qu'elles me souhaitent quelque chose aux affichages d'août. Je l'espère moi aussi. Ma collègue de poste me le souhaite aussi, et c'est pour cela qu'elle ne se réjouit pas trop. Elle me voit si déçue (elle comprend que ce n'est pas à cause d'elle) qu'elle-même ne veut pas se faire d'illusions au cas où, en août j'obtiendrais quelque chose. Elle serait tellement déçue qu'elle-même. À la lumière de sa réaction, et de la mienne, je réalise que c'est fou combien on se ressemble, dans le fond. Les parents l'ont remarqué, eux, à nous voir travailler; on est pas mal soeurs de profession et de professionnalisme. Pas pour rien finalement qu'on a fait et qu'on fera, peut-être, une équipe du tonnerre. Mais là je remarque encore plus que ça, plus du côté personnel.

Finalement, moi non plus je n'ose plus rêver aux affichages d'août. Trop peur d'être déçue encore, de me brûler de nouveau. Je verrai ce qu'il y aura, je n'ose plus rien espérer, surtout que ce ne seront que sur les postes menant à la permanence que je pourrai postuler, et je suis sûre qu'il n'y aura pas grand chose de nouveau.

Soupir.

25 juin 2007

Dans 20 heures...

Dans une vingtaine d'heures, mon tour devrait être passé au bingo des postes disponibles.

Anxieuse, nerveuse? Pas vraiment, mais tout de même un peu. Je veux avoir un poste qui me tiendra loin de ma foutue insécurité monétaire, donc qui commencera dès la première journée pédagogique. Je ne suis pas enseignante pour l'argent, mais n'ayant pas le droit au chômage "parce que vous avez un contrat en vue madame" (saloperie, il me semble que les gens mis à pieds eux ils y ont droit même s'ils ont une date de retour prévue sûre ou pas), et ayant une maison à payer de même que détestant être dans l'insécurité devant les paiements qui m'attendent, j'ai besoin de ce genre de poste. Pas à tout prix, mais presque. Je veux travailler oui, mais je veux aussi travailler dans ce que j'aime et parce que j'aime ça.

Tout mon matériel stratégique est fin prêt: carte de la commission scolaire, marqueurs de toutes les couleurs, crayons en tous genres, livre pour le voyagement et pour tromper l'attente et le stress (si jamais j'ai le temps d'attendre dans la petite heure séparant le moment où je reçois la liste des postes disponibles et celui où j'aurai fait mes choix), papiers mouchoirs (vive l'air climatisé, s'ils ouvrent celui de l'endroit où nous sommes convoqués évidemment), liste prioritaire (pour noter qui a pris quoi, n'a rien pris ou n'étais pas là et afin de voir arriver mon tour).

Car il faut être stratégique pour suivre le bingo. Il faut se concentrer sur la voix de l'annonceure maison, mal diffusée par un système de son plus ou moins efficace dans une salle bondée et plus ou moins bruyante, pour pouvoir biffer à la volée chacun des postes pris afin de ne pas arriver à la table et y passer 30 minutes à nommer des postes déjà pris, et aussi pour voir disparaître petit à petit tous les postes choisis et ainsi pouvoir partir à l'anglaise avant que son nom ne soit nommé.

Ma stratégie de choix? Les postes temps pleins qui ne sont pas à plus de 45 minutes de transport en commun de chez moi (gros maximum 60 si je vois un poste très intéressant), les remplacements pour l'année à 5 jours semaine dans la même distance, le poste que j'avais cette année, et le départ sans rien prendre en attendant la séance d'affectation d'août. Si je ne prends rien, alors je tenterai ma chance au chômage, même s'ils m'ont dégoûté au plus au point avec leur bureaucratie et leurs décisions à l'emporte-pièce qui m'ont assez fait perdre d'énergie et de temps. Pensez au film "La moitié gauche du frigo" de Falardeau, plus précisément à la partie où Ahmarani va à un organisme de défense des chômeurs, et vous allez comprendre.

Qu'est-ce que j'ai hâte de savoir. J'ai en vue certains remplacements pour l'année; il me reste à connaître toutes les possibilités restantes afin de faire mes choix.

Pensez à moi entre 10h et 11h00, en espérant qu'on ne prendra pas trop de retard pour ceux qui passent les premiers...

24 juin 2007

Me déposer enfin

La dernière semaine avec les enfants est faite.

Bon, enfin Madame Dobby devrait pouvoir se déposer non?

Ben non! Vendredi, elle a accompagné le projet spécial pour une dernière fois, et elle y a même participé. Toute cette petite troupe est revenue à 23h30 et des poussières. Le temps de se dire au revoir, bonnes vacances, de consoler les tristounets qui pleurent la fin d'une belle époque et leur attachement, me voilà de retour chez moi.

Dormir? Ben voyons donc, trop de choses à raconter rendu chez elle, trop d'adrénaline encore! Finalement, à minuit passé, hop la douche et ouste dans le lit, car le samedi matin la levée du corps se fera à 7h30.

Pourquoi si tôt alors que je pourrais grasse matiner?

Pour la simple et bonne raison que je cours les ventes de successions et de garage à la recherche de mes meubles de futur appartement. Et ça a valu la peine; j'ai déniché un bel ensemble de cuisine vieillot en bois massif et solide, dans ce style que j'aime bien (rétro et bois). Me reste à le décaper, le remettre au naturel (chêne teint foncé) et le revernir. Vais m'amuser cet été!

Voilà donc un peu de mes nouvelles, probablement bourrées de fautes, car je n'ai pas le courage de me relire à cette heure-ci!

Ah oui, et j'ai fini par réussir à me déposer et à faire une petite siesta sans trop le vouloir (je vous jure, mes yeux ont fermé tout seuls devant l'Île Coupe-Gorge, les sacripants!

Bonne Saint-Jean tout le monde!

15 juin 2007

Tellement rien et tout à dire

Message pas vraiment utile, mais il a le mérite de vous mettre à jour.

J'ai tellement de choses à dire, mais je ne veux/peux pas vous en parler. Trop spécial et trop spécifique, ce qui ferait que je perdrais un peu beaucoup de mon anonymat. Mais je peux vous dire que dans ces choses à dire il y a le projet spécial, la liste prioritaire où j'ai fait un bon phénoménal vers le haut, la semaine passée à courailler et à tousser, la semaine prochaine à faire de la suppléance dans mon école (youppi!!!).

Étant donné le projet spécial auquel je participe en accompagnant les élèves concernés en fin de semaine, je ne pourrai pas laisser de véritables messages avant lundi. L'horaire de la fin de semaine est hallucinant.

Dites au projet un gros merde, même si je suis confiante dans les élèves; ils vont épater la galerie j'en suis sûre!

09 juin 2007

Pêle-mêle 2

  • Finalement, moi aussi je suis tombée dans le panneau. Faut dire qu'avec tout ce qui nous est passé sous le nez en éducation comme nivellement par le bas, on en devient très vigilants, parfois trop. Cette fois-ci, comme dit Gooba, on est tombé dans le panneau du sensationnalisme. Merci à Prof Masqué de mettre les pendules à l'heure. C'est sûr que ça fait plus de sens lorsqu'on lit le document, qui en fait n'était qu'un document de travail et n'évacuait pas la prise en compte des fautes, mais sous-entendrait une meilleure formation des correcteurs, ce qui n'est guère mieux. Allez voir son billet, il l'explique mieux que moi.

  • Il reste 10 jours d'école dont une pédagogique. Là-dessus, seulement 4 jours de suppléance, car j'ai un rendez-vous médical et une pédagogique qui coupent (hon, quel dommage) les journées occasionnelles. Il me reste 4 jours avec ma classe.

  • Si jamais quelqu'un trouve une image de dragon "imprimable" sur un T-shirt, faites-moi signe. Je veux un T-shirt avec un dragon dessus, sauf qu'il ne s'en fait pas de "mon bord" de vêtements. Ceux du côté hommes n'ont pas la silhouette unisexe. Faut donc que je me le fasse faire. Pas un dragon super violent, non, un beau dragon emblématique, magique, le genre électrique, médiéval.

  • Faire une sortie avec des élèves, surtout de maternelle, que d'organisation! Faudra que je fasse un billet là-dessus un de ces quatre.

  • Il nous reste, à moi et ma collègue, à annoncer aux parents de notre Ti-Prout qu'il va redoubler sa maternelle. Bon sang que nous sommes anxieuses, la maman a tellement d'espoir! Et lui aussi, il envisage cette étape avec tellement (trop) de naïveté que c'en est déchirant... On voudrait bien, mais il n'est tout simplement pas prêt, et même après l'été il ne le serait pas. On ne peut pas le faire passer pour le ramener ensuite. C'est la première fois que je vais devoir faire face à une telle situation. Ouf.

  • Des gens d'un organisme écologique sont venus faire une activité de papier recyclé avec mes élèves. J'aurais bien aimé qu'ils fassent une sorte d'intro au sujet. Disons aussi que ce n'était pas adapté pour des maternelles. Une chance que ma classe est super calme et capable d'étirer sa patience. La prochaine fois, je la ferai moi-même. C'est faisable en ateliers, avec les autres enfants à d'autres activités. Un collègue m'a donné tous ses cadres-tamis alors, en achetant un mélangeur, je pourrai le faire moi-même avec un résultat un peu plus contrôlé et plus égal. Là, les feuilles ont plutôt l'air de mottons dégueulés sur les linges à vaisselle. Je vais essayer de récupérer le tout (hooooooo concept) dans le bricolage de la fête des Pères.

06 juin 2007

Fin et montée de lait

Fin

Demain, retour au boulot. Je me suis reposée en masse, et je tousse toujours. Ça va être beau demain quand je vais dire à Ptit Ange Blond d'arrêter de (tousse tousse étouffe TOOOOUUSSSSSEEEEEEE) parler. M'enfin... J'espère juste pas avoir de problèmes du genre "Oups, les amis, restez bien assis, madame Dobby doit aller aux toilettes". Parce que oui... bordel! Je bois comme un trou de l'eau, car il le faut avec les antibiotiques, et en plus ceux-ci peuvent favoriser la diarrhée. Je vous dis pas les interrogations chaque fois que je pousse... euh je tousse!


Montée de lait

Ce matin, je me lève avec le beau gros débat: les fonctionnaires du ministère ont déposé un rapport et veulent que cessent le décompte des "fôtes" de français dans l'examen du DEC, parce que c'est pas gentil donner des ptits coups sur les doigts-doigts des tinamis qui pochent leurs examens parce qu'ils ne peuvent écrire 2 mots de suite sans faire de fautes.

J'étais en beau fusil, et ce n'est pas peu dire. Nous tirer dans le pied avec un .12 serait moins nuisible à notre enseignement. On s'évertue, que dis-je, on se tue à essayer de leur donner le goût de bien parler et bien écrire le français malgré tous les autres aléas de l'enseignement. On se tue à leur montrer des règles de grammaire arides de manière qu'elles le soient moins, à leur donner le goût d'éviter les fautes. Et voilà que des tapons viennent dirent à ces futurs étudiants des cégeps "Youhou, les tinamis, laissez tomber, c'est pas important, on va juste juger de la qualité de l'ensemble". B-R-A-V-O...

J'étais vraiment pompée. Voyons donc. Comment peut-on exprimer un texte de qualité en le bourrant de fautes? D’un, il est illisible, et de deux, la construction et le sens du texte dépendent oui de la structure de la phrase, mais aussi de sa grammaire et de son orthographe. C'est pourquoi il y a une différence notoire dans les images évoquées par les deux expressions suivantes.

Le verre solitaire de ma grand-mère.
et
Le ver solitaire de ma grand-mère.


Exemple trop simpliste, sauf qu'il se porte bien à la comparaison et que les deux se peuvent et amènent deux contextes complètement différents. Imaginez dans un discours narratif, ou un discours argumentatif des comparaisons similaires. Il me semble que ça enlève à la qualité de la description ou de l'argumentation! Ceux qui ont déjà étudié le latin comme moi comprendront encore mieux ce que j'avance en parlant d'ordre et d'accord qui peuvent vous changer la phrase "Je donne une cerise à ma femme" en "Je donne la cerise de ma femme".

Ce qui me faisait aussi sauter, c'est le fait que cette annonce met en évidence tout le contraire de ce qui devrait être enseigné aux élèves. On devrait leur montrer le goût de l'effort, du dépassement des obstacles, des bâtons dans les roues à surmonter, comme dans la vie. Bon, on le fait ça les enseignants, ou on essaie de le faire plutôt. On a déjà assez de misère comme ça avec les parents qui surprotègent les petits contre leurs échecs; la majorité pour qui une sortie au parc n'est plus une assez grosse récompense (quoi, faut que ce soit le Parc Aquatique sinon c'est pas assez!!!); la majorité pour qui une note ne suffit pas comme récompense (quoi, encore le parc aquatique, ça va faire! Ah... 100$ ça ferait aussi... ben oui); la minorité (presque la moyenne) qui, n'ayant pas doublé ou n'ayant pas pu être cotée, se retrouve avec des retards en 6e année. Voilà qu'ils viennent en rajouter avec leur "il ne faut pas les traumatiser avec une méthode archaïque de points enlevés par faute, non non non plus de punition". B-R-A-V-O!

Une chance que la ministre dans la journée a répliqué et a soutenu que ça ne se passerait pas comme cela. Une chance. J'espère que, malgré le fait qu'elle ne veuille pas faire une chasse aux sorcières, elle trouvera les tapons qui pensent comme ça au ministère et lui flanquera son pied au derrière en lui montrant la porte. Bon sang, c'est à cause de fonctionnaires comme ça qu'on se retrouve avec une Réforme qui nivelle par le bas "tout le monde est égal tout beau et tout gentil dans leur compétence", de même qu'avec toute une génération de personnes plus ignares ou aux connaissances plus trouées que leurs prédécesseurs et qui ne savent pas ce que c'est qu'apprendre. Bon, pas juste leur faute, il y a divers facteurs sociaux aussi, sauf que zut de flûte, aidez-nous, ne nous nuisez pas en nivellant encore plus par le bas les exigences (et dire que je ne croyais pas que ça pouvait être nivellé encore plus pas que maintenant)!

Ça aurait été le bout qu'en plus ils en rajoutent pour que ces mêmes personnes qui ne sauront même plus pourquoi ils veulent un pays puisqu'ils ne sauront même plus ce qu'est le français, la base de leur culture si distincte, la base de leurs apprentissages, la base de leur pensée critique, la base de leur futur travail, la base de toute communication, la base de leur vie quoi. Je sais, ce n'est pas tout le monde qui connaît le français correctement ou qui a les capacités de l'apprendre (on s'entend que ce n'est pas une langue facile), sauf qu'entre "on s'en fout" et la perfection, il y a un juste milieu à dépasser il me semble comme individu. À tout le moins, un goût de la langue à cultiver au lieu de donner le goût d'en démissionner d'avance.

04 juin 2007

And the winner is...

Roulement de tambour... ou plutôt râlements de poumons...

MEEEE!!!

Je suis l'heureuse gagnante d'un séjour en bronchite avec chaleur torride et frissons garantis, avec un 10 jours d'antibiotiques à 69$ (bon, il y va y en avoir des nonos qui vont aboutir sur mon site à cause de ce nombre là!), 3 jours de repos, boire beaucoup de liquide un atout. J'ai même pris des photos aujourd'hui, de belles radiographies pour voir si je mériterais pas la pneumonie aussi... Misère!

Bouhouhou... mes 3 dernières journées partent en fumée!!!

Ma minute de plaignardise est finie. Anyway je me crache tellement les poumons que j'ai pas le temps de me plaindre!

03 juin 2007

Première "vraie" journée maladie de l'année

... jee suiiiiiis malaaaadeeeeeeeeeuuuuuuuuuh!!!

Encore... bon sang!

Il y a deux semaine, un rhume m'attaque. Suite à l'attaque qui m'a donné la fièvre, et pas celle du samedi soir, j'étais correcte. Enfin, j'étais congestionnée, je mouchais et crachais, mais ça pouvait aller. Là, depuis une autre semaine, je commence à tousser et ça devient de plus en plus déchaîné. J'en ai mal tellement je tousse. Et tadam, voilà que maintenant, je fais 100 F de fièvre et que je sens que j'ai archi chaud.

Étant donné que ça semble un return, et que je suis du genre pour qui le mélange rhume et temps chaud et humide donne invariablement une bronchite, Madame Dobby a appelé la prof qu'elle devait remplacer à son école pour lui dire qu'elle prenait une journée maladie, et a aussi appelé sa responsable. Je dis première vraie journée parce que les autres, c'était pour des RV médical tout court. Pour faire suer, j'en ai justement un mercredi!

En tout cas... Repos, liquide!