24 septembre 2006

Promesse due!

Bon, une petite promesse due à Cassiopée qui m'a taggée pour l'inventaire de ma sacoche..... due depuis longtemps... alors je m'acquitte ;)

Bien le voilà!

Petite pochette intérieure: Un slip de paye plié (preuve d'adresse et de travail), un horaire d'autobus pour aller à Chertsey, une facture de vaccination eu la semaine passée, un porte-carte en cuir.

Dans la section principale: mon porte-feuille, un autre porte-carte (ouain je devrais faire le ménage parce que franchement ce porte-carte-là qui devrait être le "to-go" est vraiment plein...), mon gros porte-clé de l'enfer qui tue acheté lors de mon cours d'auto-défense (ça fesse les amis, il pèse la moitié du poids de ma sacoche presque, et il égratigne même le béton!), mes clés d'école, une petite bouteille de savon sans eau, une calculatrice, deux crayons, des mouchoirs.

Dans la pochette à l'avant: deux serviettes sanitaires, deux gloss pour les lèvres, deux minitubes de pâte à dents, une minibrosse à dents, un minidistributeur de soie dentaire, deux petit miroirs (un rond et un très très plat et petit rectangulaire), des pastilles Fisherman's Friend, des pansements, un élastique à cheveux, un minitube de nettoyant-démaquillant pour le visage, un pilulier, une mini-bouteille de Tylenols... et un raisin en plastique qui vient de mes fruits en plastique que j'utilise pour le mois de la nutrition... un enfant se l'était mis en bouche je crois et je l'avais confisqué.

Dans la pochette sur le rabat: mes clips solaires, ma passe d'autobus, un étui avec un tissu pour les lunettes et qui me sert aussi de bottin téléphonique avec une carte d'appel, des cartes de rendez-vous, un truc de listerine en feuilles.

Tout autour de la sacoche: mon cellulaire accroché sur la sangle, un toutou accroché aux anneaux d'attache de la sangle (donné par un ami), un Winnie the Pooh attaché sur une des fermetures éclair (donné par un enfant).

Voilà c'est tout!!!

23 septembre 2006

Me voilà un petit peu de retour...

Je n'avais pas vraiment le goût d'écrire cette semaine.

J'aurais pu, il y avait quand même quelques événements disons... humoristiques dans ma vie (bah quoi... se promener en plein métro avec un chandail à l'envers et se faire regarder, tout le long du trajet, en ayant juste l'envie de le revirer de bord une fois pour toute malgré le passage imposé à la nudité soudaine, c'est assez humoristique dans mon cas, je vous raconterai un jour!), mais le reste des nouvelles côté profession n'étaient pas jojo. Aaaaah pas moi, mais tout autour, l'atmosphère est à la débandade, à l'écroulement, à la démotivation, et j'en passe.

Une chance que j'ai eu mon rayon de soleil hier, et que j'ai décrit précédemment.

Non, je n'avais pas vraiment le goût en sentant que la profession et ses valeurs profondes prennent le bord à cause d'une sapristi d'organisation rouillée et incapable de s'adapter. Quand ce ne sont pas les entourloupettes du système qui démotivent en ne laissant pas le choix du coeur ou qui créent l'injustice au sein des rangs des troupes (qui voient leurs meilleurs joueurs jetés aux quatre vents supposément faute de postes à combler alors qu'il y en avait plein dans les assemblées de placement), ou l'organisation broche à foin qui fait que deux suppléants sont appelés pour une même classe, ce sont les changements de chaises imposés trop tard en début d'année.

Vive l'affichage en septembre...

J'ai été témoin de déchirements et de larmes. Comment est-ce que ça pourrait être autrement quand un enseignant doit choisir entre l'avancement de sa carrière après 8,10,12 ou même 15 ans d'abnégation et de «je pense aux élèves» et justement ces élèves qui sont les siens depuis le début septembre à qui on donne déjà tout de soi, à qui il veut donner toujours plus de stabilité dans leurs petites vies souvent instables et qui lui apportent tant (égoïstement) à la sienne, à sa raison d'être enseignant? Quel que soit le choix, les larmes sont aux rendez-vous, soit parce qu'il se sent misérable de délaisser ses élèves, soit parce qu'il espère ne pas avoir laisser à la suivante sur la liste ZZZEEE chance d'avoir lui-même cette stabilité dont il rêve tant.

Choix du coeur ou choix de tête, zzaat izzzz zzze coueshtshiun!

Je suis allée à l'assemblée, espérant que je resterais avec ma classe et cette collègue que j'adore... je ne voulais pas être une des chanceuses qui aurait à faire face au dilemme maudit. Tous les choix que j'aurais pu accepter ont heureusement été pris. Heureusement, car j'aurais juste pleuré en ne sachant pas quoi faire... Je m'interroge encore: si j'avais eu LA chance, l'aurais-je prise? LA chance, alors que je ne fais que commencer...

Probablement que non... Ou peut-être que oui...

Aurais-je été une moins bonne personne de la prendre stratégiquement?
Ou aurais-je été tarte de la refuser par «humanisme».

Je peux donc dire que je comprends infiniment Prof Maudit, d'autant plus qu'il n'a pas eu le choix et n'a pas pu prendre sa décision pourtant si claire pour lui, et cette collègue de Prof Malgré Tout qui a fait son choix et qui, tout en se réconfortant probablement sur le fait que c'est SA chance enfin après tant d'années, pleure cette classe qu'elle eu depuis le début et qu'elle a tant aimé, ou encore cette jeune collègue qui a sué sang et eau dans un poste ouvert et où les élèves n'ont eu qu'instabilité pendant une semaine et demie, mais qui se l'est fait prendre à l'affichage tout simplement parce que ce sont les règles du jeu de foutre la merde dans toutes les classes enfin installées en mettant un foutu affichage en septembre de tous les postes créés seulement rendu en septembre!!! Pourtant, on savait déjà dans les éminences de la commission scolaire que c'était nécessaire. Il n'y avait pas besoin d'attendre de voir si les élèves allaient être là en classe... hey ho, quand il y a une marge de manoeuvre de 15 déménagements sur la liste papier avant que la nécessité d'ouvrir s'annule, on s'entend-ti qu'il n'y a pas de danger que la classe ouverte en août soit refermée faute d'élèves???

Des histoires d'horreur, autant pour les profs que pour les élèves, il y en a à la grandeur de la commission scolaire. Ouais, en premier il faut penser aux élèves dans ces situations, eux qui se font barouetter par des conneries administratives et syndicales. Nous y pensons aussi, les enseignants, c'est pour eux justement que nous sommes là, ils sont notre valeur première, notre priorité, toute une priorité, la plus importante! Mais... nous les enseignants, par ces enfants qu'on nous «force» plus ou moins à laisser derrière, nous pensons aussi à nous, à nos choix, à nos valeurs, et tout cela remet en contexte la raison même d'enseigner, notre don de nous-mêmes... et jusqu'à quel point!

Avec un affichage et une gestion en août des classes à ouvrir... on épargnerait ce foutu dilemme aux profs et cette réflexion... mias surtout les élèves, centre de nos pensées et réflexions!

Pensées mélangées, et je n'ai pas envie de les démélanger, elles sont sorties comme cela et elle resteront comme ça.

Et je vais continuer à écrire ;)

Deux fois dans ma vie

Deux fois dans ma vie, dans des cas de suppléance à la journée, des directions ont insisté pour que les élèves fassent leurs excuses pour de gros événements bien après mon passage. Une fois ça a été lorsque je suis retournée dans l'école où s'était déroulée la crise, plusieurs semaines après en fait. La direction m'a envoyé l'élève me faire ses excuses... wow!

La deuxième fois c'était hier. Juste un petit mot de deux lignes, reçu à l'interne, mais qui a illuminé ma journée. Et je me suis empressée de répondre à ce moins ti-pou qui avait fait une méga ultra géante crise avec même gestes de me frapper. J'avais suggéré à mon départ de faire cela, car il devait faire ses messages le soir à la maison avant de pouvoir retourner à l'école, alors que le lendemain je n'étais plus là pour le recevoir. J'ai eu toute une surprise en le recevant hier, et j'étais vraiment toute contente.

Deux fois, et je suis contente. Pas juste pour les enfants, quand même on ne se cachera pas que c'est très pédagogique un tel suivi. Mais au-delà de la leçon de vie que ces enfants ont eue, il y a le fait que ces événements «redorent» un peu la profession de suppléante à la journée. Ça aurait été facile de laisser aller, et bon le message alors reçu aurait été «pas grave, elle est une suppléante, elle n'est que de passage». Malheureusement, ce message est bien souvent entériné par des collègues permanents (ce qui fait que le passage de n'importe quel suppléant ainsi que mon retour est l'enfer) de même que par certaines directions (alors là bonjour le support!). Alors, de voir que dans ces deux cas on a plutôt pensé le contraire, que la suppléante a autant une vie et un besoin de reconnaissance de notre boulot, ça fait du bien :).

Merci pour le support à ces deux équipes ;)

Et je garderai précieusement le mot dans ma boîte à souvenirs!

13 septembre 2006

Parce que...

Je l'ai (re)trouvée ma réponse (re parce que je réalise qu'à fois que je la trouve c'est la même)

Parce que...

Même après 3 jours de plus ou moins grand enfer ... Je vais m'ennuyer de cette classe-là... et d'eux.

Bon sang, tout ce dont ils ont besoin c'est qu'on s'occupe d'eux enfin. Et ils auront eu beau me traiter de tous les mots (et maux), toujours est-il qu'ils ont "accepté" malgré tout l'encadrement que je leur ai donné (imposé serait plus juste, mais tellement anti-réforme)... c'est flagrant qu'ils l'acceptent et qu'ils en mangent, même si des fois ils m'en "régurgitent" des bouts en pleine figure hihi (désolée de l'image, mais c'est la meilleure que je trouve).

La routine, les récompenses et les conséquences, les règles et les exigences, les remises à sa place (Prof Maudit dirait "leur montrer c'est qui le boss dans place avec 3-4 coups de fouet!"), c'est la sécurité pour eux. Cet environnement, c'est quelque chose que nous les profs on prend souvent pour acquis, et dont on prend réellement et pleinement conscience que lorsqu'on voit ce qui arrive quand il n'y en a pas.

Quand même, la preuve par 10 c'est qu'il y a eu, en juste trois jours, un poil d'amélioration et ce poil est tellement encourageant et ravigotant. Et juste pour ça, juste pour ce petit pas pour moi et tellement grand pour eux... pouvoir mautadit que je la prendrais cette classe. Malgré les crises et les accrocs.

Ben peut-être que je suis juste maso dans le fond.

Voyez trois jours. imaginez 180.

11 septembre 2006

Pourquoi...

Pourquoi j'ai autant de succès à "redresser" une classe qui est tout croche ou à tenir une classe qui avec tout autre suppléant a l'air du bordel...

Je dois être maso.

Ou j'aime carrément et foutrement et inconditionnellement mon travail.

Je préfère la deuxième option, quoique la première est très réaliste

Surtout pour accepter d'y retourner demain...

04 septembre 2006

Résumé de ma première semaine

Alors, petit résumé de ma semaine passée (faudrait que je fasse celui de cette semaine... mais pas maintenant! Et ça fait une semaine que ce post traîne dans mes brouillons)

J'ai déjà commencé à attraper les microbes... pourtant je n'avais pas d'enfants (lire réservoirs à microbes) avec moi. Mais dès lundi, j'ai commencé un rhume accompagné de frissons quand je me suis couchée après mon cours de conduite, épuisée. Ça m'a suivi toute la semaine, ce qui n'a pas aidé à l'épuisement total et à la perception des choses fort probablement. On reste humain même si on est prof han ;).

Mardi et mercredi passés, terrain connu. Des 6e années qui me connaissent depuis leur "naissance" dans le monde scolaire hihi. Pas de trouble, mais quand même j'ai gagné ma croûte. Une chance qu'ils ont été cool, moi qui n'aime pas les classes de plus vieux d'habitude. Un préado gossant bébé qui sait pas quoi faire de ses dix doigts pour faire ce qui est demandé, ça me tape sur les nerfs, comparé à un ti-pou tout aussi gossant... le ti-pou a l'excuse de son âge au moins hihi. Donc, deux belles journées, malgré tout je suis sortie de là brûlée, surtout que je prends mon boulot à coeur pis que j'en fais plus que bien des suppléantes,(je ne veux pas me vanter, mais ça m'arrive souvent de rester jusqu'à 16h, j'ai même vu 17h, pour mettre tout en ordre...). Tout ça pour dire que ce n'est pas pour rien que mes collègues étaient soulagées de m'avoir.

Jeudi et vendredi passés... grande rentrée avec mes ti-pous. Une chance que ma collègue est venue, car il y avait beaucoup de choses à voir; vu que c'était leur première journée pleine, elle est venue faire la transition. Oooooooooouuffff. soit que mes anciens étaient plus rapides, soit que mes actuels sont plus grouillants. Il me semble qu'il m'a fallu beaucoup plus d'énergie et que ça n'a pas avancé ben vite, lent à pogner le beat. Bah, je vais m'adapter, mais ça me rentre dedans! Vivement que ça roule!!!

Héhé, non, dans le fond ce sont de bons enfants, grouillants mais corrects. Bon, ce qui est le plus épuisant c'est que j'en ai un par contre à qui je dois tout répéter en autant de copies que j'ai pu répéter aux autres, à lui seul. Il y en a aussi un autre qui ne veux rien savoir d'entrer dans la classe parce que la veille je l'ai mis 3 fois sur la chaise plate. Ben oui... il fait des crises, ne fait pas ce qu'on lui demande et traîne looooonnngtemeeememmps (quand je dis longtemps c'est longtemps). J'ai beau ruser et tout faire, compter et tout, il reste à côté de mes consignes, et se choque plus je lui demande. Sauf que ça porte à réflexion. À sa première semaine dans la classe il ne veut déjà rien savoir... ouf! Dur pour le coeur de la madame... Questionnant, j'ai pensé à ce que je pourrais faire afin de m'équiper d'avance pour la suite des choses à notre prochaine "rencontre". Pas évident, car quand même, je ne peux pas lui laisser tout passer. Et un moment donné, le sur encouragement de ce qui va bien et l'ignorance des niaiseries... ça mine. Je veux le sortir de là en un morceau, mais moi aussi j'ai mes limites. Et les 19 autres tit-pous ont besoin de moi aussi. Je ne peux pas être seulement après monsieur.

Bon, après tout ça, j'ai profité de la fin de semaine pour me reposer; drôle à dire on vient de commencer et je bénis les trois jours de congé offerts! Et qu'est-ce que j'ai fait cette fin de semaine là... eeuuuuh... m'en rappelle plus. Pas grand-chose d'exaltant en tout cas! Mais bon, tant que ça fait la job!

03 septembre 2006

Petit questionnaire

Un test qui voyage sur les blogues… Et, vu que mon amie ne ment jamais et qu'elle a dit sur son propre blogue que j'allais le faire, je n'ai pas le choix, afin de préserver sa réputation et la pureté de son âme, de le compléter moi aussi.

1. Attrapez le livre le plus proche de vous, allez à la page 18, qu'y a-t-il d'écrit à la 4ème ligne?

« Lorsqu'un conducteur est trouvé coupable d'une infraction au Code de la Sécurité Routière ou d'un règlement portant sur la sécurité routière, la S.A.A.Q inscrit des points d'inaptitude au dossier »

Extrait de Maîtriser le volant, cours de conduite Tecnic.

Mouais ben... devinez qui sera la prochaine danger public sur les routes dès qu'elle aura fait son examen théorique...

2. Étirez votre bras gauche aussi loin que possible... Et...?
Du viiiiiiiiiiiiidddddeee!!! Enfin, j'ai un bureau de travail avec de l'espace. En fait, depuis qu'on a la maison, je n'ai que ça de l'espace..... enfin, tant que je le remplis pas avec mes cochonneries (note à moi-même, ne pas m'asseoir par terre et me tendre le bras, parce que là il n'y a plus de place avec les piles).

3. Quelle est la dernière chose que vous avez regardée à la TV?
Oh boy... bonne question...

4. Sans vérifier, devinez quelle heure il est:
15h17

5. Maintenant, vérifiez, quelle heure est-il réellement?
15h10! Ouah! Sans le vouloir, j'ai mis le même coussin de sécurité que j'ai mis sur ma montre afin de ne pas être en retard. Ouais, je mets 7 minutes de plus à ma montre, comme ça en suppléance quand je regarde l'heure, je ne suis pas vraiment en retard, il me reste 7 minutes de jeu pour ramasser les flos.

6. En dehors du bruit de votre ordinateur, qu'entendez-vous?
La télé qui est aux petits bonhommes de la SRC, et mes parents qui se jasent de gogosses.

7. Quand êtes-vous sorti pour la dernière fois? Qu'avez-vous fait?
Est-ce qu'aller au Cacanne Tire pour aller acheter des semences de gazon et un épandeur manuel est une sortie en règle? Pas hyper excitant là, mais bon...

8. Avant de commencer ce questionnaire, que regardiez-vous?
Je regardais les nouveautés des blogues que je suis grâce à Bloglines. Assez pratique comme site :)

9. Que portez-vous?
Un "vieux" short en coton ouaté et un "vieux" chandail... vieux dans la mesure où je ne les porte plus pour sortir, mais qu'ils sont très présentables pareil, et que j'ai d'autres vêtements qui m'adorent pour sortir en public hihi.

10. Avez-vous rêvé la nuit dernière?
Oui, mais ce n'est pas racontable sur le blogue d'une enseignante, car par définition lorsqu'on enseigne nous nous devons d'être vertueux...

11. Quand avez-vous ri pour la dernière fois?
... difficile à dire il y a presque toujours quelque chose ou quelqu'un pour me faire rire. Les seules fois où je ne ris pas, c'est quand il y a quelque chose de sérieux.

12. Qu'y a-t-il sur les murs de la pièce où vous vous trouvez?
Presque rien. Le mur où est adossé mon bureau est nu, il n'y a pas de mur à ma gauche, car c'est le salon (je suis dans le salon double), à droite c'est ma méga bibliothèque avec tous mes livres d'enseignement, et derrière moi un babillard avec plein de papiers.

13.Avez-vous vu quelque chose d'étrange aujourd'hui?
Non, pas encore!

14. Que pensez-vous de ce questionnaire?
Me semble qu'il manque les trucs du genre votre crème glacée préférée, votre pire défaut, votre plus belle qualité, votre chanson fétiche et alouette... Ben quoi, toujours utile de faire savoir qu'on est du type chocolat ou de savoir si on fait affaire avec quelqu'un du type Sweet People!

15. Quel est le dernier film que vous ayez vu?
Au cinéma : Bon cop bad cop (allez le voir c'est bon!!!)
En DVD : Et si c'était vrai (Just like Heaven)

16. Si vous deveniez multimillionnaire dans la nuit, qu'achèteriez-vous?
Ben des affaires, mais sûrement la maison d'à côté de chez moi pour pouvoir déménager au plus criss (oups scusez la!) Et nah, je veux pas aller à l'autre bout de la ville, zut je suis à côté de mon boulot!!

17. Dites-nous quelque chose que nous ne savons pas à propos de vous?
Ehhh, je suis capable de ramasser plein d'objets avec mes doigts de pieds, et même capable d'écrire du pied droit. Aaaaah et je peux écrire à l'envers (manuellement j'entends), autant de bas en haut que de droite à gauche et les deux en même temps... avec la graphie du Ministère en plus... Ben quoi, à force on apprend en montrant aux enfants à écrire et en se plaçant face à eux.

18. Si vous pouviez changer une chose dans le monde, en dehors de la culpabilité ou de la politique, que changeriez-vous?
La pollution et le mépris pour notre bonne vieille Terre et ses ressources.

19. Aimez-vous danser?
J'adore!

20. George Bush :
Je ne suis pas la politique ardemment, mais pour ce que j'en sais, il est un vrai danger cet homme, pour l'humanité.

21. Quel serait le prénom de votre premier enfant si c'était une fille?
Lune, ou Marie-Lune, mais j'ai l'impression qu'il va y en avoir plusieurs parce que ma "génération" a adoré les livres de Dominique Demers. J'ai d'autres noms en tête aussi, mais je ne veux pas un nom à la mode. J'étais la seule à avoir mon prénom au primaire, on était deux dans tout le secondaire, et encore là il ne s'écrivait pas pareil. J'aime être unique.

22. Quel serait le prénom de votre premier enfant si c'était un garçon?
Aucune idée... mais quelque chose d'assez unique encore hihi.

23. Avez-vous déjà songé à vivre à l'étranger?
Oui et non. J'aime mon Québec, j'aime Montréal, j'y suis bien. Par contre, je ne dirais pas non pour un peu plus de neige!

24. Quelles sont les 4 personnes qui doivent faire ce questionnaire sur leur propre blogue?
Hum, les 4 premiers qui en auront envie parmi ceuz qui me lisent! Juste une qui n'aura pas besoin :P